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    Big Bang nucleosynthesis and physics beyond the Standard Model

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    The Hubble expansion of galaxies, the 2.73\dK blackbody radiation background and the cosmic abundances of the light elements argue for a hot, dense origin of the universe --- the standard Big Bang cosmology --- and enable its evolution to be traced back fairly reliably to the nucleosynthesis era when the temperature was of \Or(1) MeV corresponding to an expansion age of \Or(1) sec. All particles, known and hypothetical, would have been created at higher temperatures in the early universe and analyses of their possible effects on the abundances of the synthesized elements enable many interesting constraints to be obtained on particle properties. These arguments have usefully complemented laboratory experiments in guiding attempts to extend physics beyond the Standard SU(3)_{\c}{\otimes}SU(2)_{\L}{\otimes}U(1)_{Y} Model, incorporating ideas such as supersymmetry, compositeness and unification. We first present a pedagogical account of relativistic cosmology and primordial nucleosynthesis, discussing both theoretical and observational aspects, and then proceed to examine such constraints in detail, in particular those pertaining to new massless particles and massive unstable particles. Finally, in a section aimed at particle physicists, we illustrate applications of such constraints to models of new physics.Comment: 156 pages LaTeX, including 18 PostScript figures; uses ioplppt.sty, epsf, and personal style file (incl.); Revised and updated to include, e.g. implications of new deuterium observations in primordial clouds; 2-up PostScript version (78 pages) available at ftp://ftp.physics.ox.ac.uk/pub/local/users/sarkar/BBNreview.ps.gz ; to appear in Reports on Progress in Physic

    La chapelle de la commanderie Saint-Jean-des-Prés à Montbrison (Loire). Étude préliminaire: Rapport de fouille archéologique programmée

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    La première intervention archéologique sur le site de la commanderie hospitalière de Saint-Jean-des-Prés à Montbrison (Loire) a été consacrée à la réalisation d’un état des lieux de la chapelle, seul bâtiment conservé de l’ensemble architectural, et à une évaluation du potentiel archéologique du site, dont la construction remonte aux années 1170-1180. Plusieurs axes ont été privilégiés lors de cette opération.Une analyse du bâti de l’extérieur de l’édifice et d’une partie de ses élévations internes a permis de mettre en évidence la présence d’une galerie pouvant appartenir à un cloître du côté sud de la chapelle et d’une porte rapidement murée destinée à desservir l’édifice depuis la galerie, ces deux éléments prenant part au projet architectural primitif, ainsi que de réaliser une première analyse des décors peints successifs de l’intérieur de la chapelle. Si la nef romane est conservée en totalité, à l’exception de sa voûte, dont la date d’effondrement est encore incertaine, le chœur de l’édifice apparaissait partiellement reconstruit en première analyse, mais semblait conserver le plan roman dans sa partie basse, construite en pierres de taille de granite comme la nef, tandis que la partie haute et les contreforts semblaient résulter d’une reconstruction gothique. Les irrégularités des chaînages et des assises de la partie basse en granite laissait cependant douter de l’appartenance de ces parties de l’édifice à la construction primitive. Deux sondages réalisés dans le chœur et à la jonction du chœur et de la nef de l’édifice ont confirmé ces soupçons, grâce à la découverte de parties romanes du chœur en place dans le sous-sol ainsi que l’arrachement du mur du chevet, montrant nettement que celui-ci possédait non pas un plan quadrangulaire à chœur et chevet plats, mais une abside semi-circulaire. Les parties en granite de l’élévation du chevet reposent en outre sur une fondation en petits blocs irréguliers, elle-même assise sur la fondation romane en moellons de granite équarris à tête dressée.C’est donc bien la totalité du chœur qui a été reconstruit, probablement au XIVe ou au XVe s., avec un remploi des pierres de taille romanes pour la partie basse. Ces éléments conduisent à revoir également notre compréhension de l’organisation primitive de la chapelle ; si le chœur gothique occupe une seule travée, les trois autres travées romanes servant de nef, il semble du fait de la taille de l’abside romane (d’un diamètre interne d’environ 6,60 m) que l’organisation romane ne comprenait probablement que deux travées de nef, et une travée droite de chœur avant l’abside. En l’état des recherches, aucun sol à mettre en relation avec l’édifice roman n’a pu être découvert. En revanche, des traces d’une barrière du chœur gothique et d’une partie d’un sol en tommettes glaçurées polychromes ont pu être retrouvées.Les fonctions funéraires de l’édifice ont pu être approchées à travers la découverte de cinq sépultures dans la nef, dont l’état de conservation s’avère satisfaisant sans être exceptionnel, et à travers l’étude des négatifs de deux enfeus de la fin du XIIIe s., et notamment du décor peint de l’un de ces enfeus, appartenant au tombeau d’un prêtre de l’Hôpital nommé Aténulphe, commandeur de Saint-Jean-des-Prés de 1215 à 1248. Le site s’avère dans l’ensemble dans un bon état de conservation, même si les constructions des XIXe et XXe s. nuisent à la lecture de l’ensemble

    La chapelle de la commanderie Saint-Jean-des-Prés à Montbrison (Loire). Étude préliminaire: Campagne de fouilles 2005

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    Rapport de fouille archéologique programméeLa première intervention archéologique sur le site de la commanderie hospitalière de Saint-Jean-des-Prés à Montbrison (Loire) a été consacrée à la réalisation d’un état des lieux de la chapelle, seul bâtiment conservé de l’ensemble architectural, et à une évaluation du potentiel archéologique du site, dont la construction remonte aux années 1170-1180. Plusieurs axes ont été privilégiés lors de cette opération.Une analyse du bâti de l’extérieur de l’édifice et d’une partie de ses élévations internes a permis de mettre en évidence la présence d’une galerie pouvant appartenir à un cloître du côté sud de la chapelle et d’une porte rapidement murée destinée à desservir l’édifice depuis la galerie, ces deux éléments prenant part au projet architectural primitif, ainsi que de réaliser une première analyse des décors peints successifs de l’intérieur de la chapelle. Si la nef romane est conservée en totalité, à l’exception de sa voûte, dont la date d’effondrement est encore incertaine, le chœur de l’édifice apparaissait partiellement reconstruit en première analyse, mais semblait conserver le plan roman dans sa partie basse, construite en pierres de taille de granite comme la nef, tandis que la partie haute et les contreforts semblaient résulter d’une reconstruction gothique. Les irrégularités des chaînages et des assises de la partie basse en granite laissait cependant douter de l’appartenance de ces parties de l’édifice à la construction primitive. Deux sondages réalisés dans le chœur et à la jonction du chœur et de la nef de l’édifice ont confirmé ces soupçons, grâce à la découverte de parties romanes du chœur en place dans le sous-sol ainsi que l’arrachement du mur du chevet, montrant nettement que celui-ci possédait non pas un plan quadrangulaire à chœur et chevet plats, mais une abside semi-circulaire. Les parties en granite de l’élévation du chevet reposent en outre sur une fondation en petits blocs irréguliers, elle-même assise sur la fondation romane en moellons de granite équarris à tête dressée.C’est donc bien la totalité du chœur qui a été reconstruit, probablement au XIVe ou au XVe s., avec un remploi des pierres de taille romanes pour la partie basse. Ces éléments conduisent à revoir également notre compréhension de l’organisation primitive de la chapelle ; si le chœur gothique occupe une seule travée, les trois autres travées romanes servant de nef, il semble du fait de la taille de l’abside romane (d’un diamètre interne d’environ 6,60 m) que l’organisation romane ne comprenait probablement que deux travées de nef, et une travée droite de chœur avant l’abside. En l’état des recherches, aucun sol à mettre en relation avec l’édifice roman n’a pu être découvert. En revanche, des traces d’une barrière du chœur gothique et d’une partie d’un sol en tommettes glaçurées polychromes ont pu être retrouvées.Les fonctions funéraires de l’édifice ont pu être approchées à travers la découverte de cinq sépultures dans la nef, dont l’état de conservation s’avère satisfaisant sans être exceptionnel, et à travers l’étude des négatifs de deux enfeus de la fin du XIIIe s., et notamment du décor peint de l’un de ces enfeus, appartenant au tombeau d’un prêtre de l’Hôpital nommé Aténulphe, commandeur de Saint-Jean-des-Prés de 1215 à 1248. Le site s’avère dans l’ensemble dans un bon état de conservation, même si les constructions des XIXe et XXe s. nuisent à la lecture de l’ensemble

    Evaluation of the Belgian Guidelines Website EBMPracticeNet in French General Practice.

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    EBMPracticeNet is a Belgian website of guidelines translated and adapted from the Finnish EBM guidelines. During the experimentation of the EBMPracticeNet website in France, physicians globally got an accurate answer and found the information provided by the website reliable and useful for practice. They perceived its ergonomics as good and wished to continue using it. Improvements should focus on the indexation and adaptation of the guidelines, and on physicians' training.info:eu-repo/semantics/publishe

    Evaluation of a guidelines website capitalizing on Finnish content and Belgium interface: A pilot study in French general practice

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    No reference point-of-care, web-based medical compendium is available in general practice in France. We have then conducted the experimentation of EBMPracticeNet, a Belgian website of guidelines translated and adapted from the Finnish EBM Guidelines. We collected data from three sources: (i) the website logbook; (ii) a search-specific assessment questionnaire; (iii) a global assessment questionnaire. A cumulative number of 262 (62.8%) physicians performed at least one search on the website and clicked on average 5.9 times per month. Physicians globally got an accurate answer (74.2%). They found the information provided by the website reliable (92.2%) and useful for practice (78.6%). They perceived the website ergonomics as good. The main reported barriers were the time and effort required to find an accurate answer and the uneven relevance of the information retrieved. Improvements should focus on guidelines indexing and their adaptation to the French context, and training physicians to search medical databases.SCOPUS: ar.jinfo:eu-repo/semantics/publishe

    A novel DDDAS architecture combining advanced sensing and simulation technologies for effective real-time structural health monitoring

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    A still open question is how to design smart and autonomous mechanical structures able to perform online monitoring of their integrity and take anticipated actions during service before downtime of failure occur. To address this question, we present in this Chapter some innovative physics-guided numerical techniques for effective data assimilation and control. These techniques are integrated into a global feedback loop where the mechanical structure in service continuously and dynamically interacts with a digital twin which is updated and enriched on-the-fly for further command synthesis, as per the Dynamic Data Driven Applications Systems (DDDAS) paradigm. The overall strategy is unified around the concept of modified Constitutive Relation Error (mCRE) for enhanced robustness. The strategy also involves multidisciplinary numerical tools, such as Kalman filtering, adaptive modeling, deep learning, or Model Predictive Control, in order to accommodate real-time, accuracy, and portability constraints. The interest of the DDDAS approach is illustrated on several applications with evolutive mechanical systems, and with various sources of data obtained with advanced experimental devices
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